10 conseils pour éviter de manger de façon compulsive pendant les périodes de stress

10 conseils pour éviter de manger de façon compulsive pendant les périodes de stress

Les fêtes de fin d’année arrivent à grands pas avec leurs lots de repas copieux en famille. Il s’agit d’un moment de l’année aussi attendu que redouté lorsque l’on essaie de perdre du poids. Toutefois, contrairement à certaines idées reçues, ce n’est pas lors de ces repas très riches que l’on prend le plus de kilos superflus. C’est en réalité beaucoup plus le cas tout au long de l’année avec les grignotages intempestifs qui sont bien plus souvent qu’on ne le croit liés au stress. Ainsi, parvenir à réduire cette habitude revient quasiment à perdre du poids ou du moins, à ne pas en prendre davantage. Voici donc sans plus attendre 10 conseils pour éviter de manger de façon compulsive pendant les périodes de stress.

Rester occupé

L’ennui est la source de bien des problèmes, dont le stress à l’origine du grignotage, quand ce n’est pas l’ennui lui-même qui provoque ce type d’écart. L’esprit ayant un pouvoir insoupçonné pour le pire comme pour le meilleur, il faudra le garder occupé, faute de quoi il aura tendance à réveiller les pires penchants. Pour cela, une multitude d’options existent comme la pratique d’activités physiques ou intellectuelles allant du sport aux jeux de société ou à la lecture.

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Limiter les tentations

Il est difficile d’être certain que le stress et les envies ne viendront pas nous tenailler, en revanche, il est facile de réduire le risque de dérapage quand cette situation survient. Comment ? Eh bien, tout simplement en ne disposant pas chez soi d’aliments tentants dans ses placards ou dans son frigo. Ainsi, la tentation sera moins grande, mais si jamais vous y cédez, eh bien il vaut mieux que ce soit avec un fruit par exemple, plutôt qu’avec des sucreries ou autres.

Manger des aliments avec un haut niveau de satiété

La sensation de faim n’est pas toujours liée à un besoin du corps et avoir faim ne signifie pas nécessairement avoir besoin de manger. Pour limiter ce type de sensation, il est conseillé de consommer des aliments avec un haut niveau de satiété. Ces derniers sont ceux riches en fibres comme les fruits et légumes, mais aussi les céréales complètes.

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Se faire suivre par un professionnel

L’aide d’un ou plusieurs professionnels peut s’avérer cruciale pour savoir que faire, par où commencer et se sentir entre de bonnes mains. Il peut par exemple s’agir d’un médecin nutritionniste, d’un thérapeute ou bien encore d’un coach de vie.

Limiter son stress

Si le stress est le déclencheur de fringales incontrôlées, alors, il s’agit d’un bon point de départ que de contrôler, ou du moins réduire celui-ci. Pour cela, plusieurs options s’offrent à vous. La pratique de la méditation, du yoga ou l’apprentissage de la respiration contrôlée peuvent notamment être une excellente option. Garder l’esprit occupé avec des pensées positives est également primordial pour gagner face à nos émotions. La musique est par exemple un excellent remède.

Ne pas trop se frustrer

Il s’agit d’un phénomène hélas bien connu des personnes qui se lancent dans des régimes aussi stricts que brutaux. La privation subite et continue d’aliments que l’on aime finit par provoquer l’exact effet inverse que celui escompté. Sur la durée, la frustration est trop forte et lorsque l’on craque, on va beaucoup plus loin dans les excès alimentaires que ce que l’on ferait en temps normal. Ainsi, s’il est important de se montrer raisonnable dans ses choix alimentaires, il est important pour l’esprit de se faire plaisir de temps en temps. Mieux vaut un écart une fois dans la semaine que l’abandon total de ses bonnes habitudes après quelques semaines ou mois ultra-strict.

Solliciter l’aide de son entourage

Les amis, la famille, son ou sa partenaire font partie intégrante de tout grand changement, ou du moins ils peuvent être une aide précieuse. Il s’agit d’un soutien moral essentiel, mais aussi d’une aide concrète pour résister aux tentations. Les proches pourront veiller à ce que la personne concernée ne soit pas livrée à elle-même en cas de période délicate et sujette au stress. Enfin, ne pas vivre seul permet de suivre plus facilement des horaires fixes et communs pour les repas.

Boire suffisamment d’eau

Trop souvent négligée au profit d’un focus total sur l’alimentation, l’hydratation joue pourtant un rôle majeur dans une multitude d’aspects. L’hydratation aide tout d’abord à réduire la sensation de faim. Mais ce n’est pas tout, boire suffisamment d’eau permet d’assurer le bon fonctionnement des organes, l’élimination des toxines et la perte de poids.

Utiliser un traitement si nécessaire

Dans certains cas, certains facteurs hormonaux, physiologiques et/ou psychologiques peuvent altérer la sensation de faim de façon pathologique et donc incontrôlable. Dans ce cas de figure, il est possible de faire appel à des traitements efficaces comme Wegovy, Semaglutide ou bien encore Saxenda dont le mécanisme d’action repose sur un effet coupe-faim. Il s’agit toutefois de traitements dont la vente est soumise à ordonnance dans la mesure où il est possible chez certains patients de rencontrer des effets secondaires ou des contre-indications.

Noter tout ce que l’on mange

Comme pour le suivi d’un budget, le fait de noter noir sur blanc tout ce que l’on mange est un moyen mnémotechnique essentiel pour ne pas faire de folies. Ainsi, il est vivement recommandé de noter quelque part de visible (sur le frigo par exemple) chaque aliment consommé, quel jour, à quelle heure et en quelle quantité. Pour aller plus loin, il est également très utile de peser ses aliments et de noter le nombre de calories pour 100 grammes par exemple.

Sources

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